Pendentif Dzi Ruya | Chung Dzi | Tradition et Culture de l’Himalaya

Pendentif dzi ruya sculpté d’un Bouddha dans une agate naturelle, talisman ethnique chung dzi. Le dzi ruya ou « crochet de singe » est particulièrement recherché. Au Tibet, le chung dzi ruya « monkey hook / crochet de singe », également appelé « Ruya ou clé d’or » est réputé pour apporter la prospérité. Comme son nom le fait penser, ce talisman attire à lui la fortune et aide à la conserver. Les entreprises tibétaines possèdent souvent un chung dzi ruya à l’intérieur des locaux, afin de révéler les opportunités stratégiques et financières à ces dernières. Cette amulette est finement sculptée à l’effigie du bouddha. Talisman ethnique tibétain issu de l’artisanat himalayen.

Des matières authentiques et de qualités.

Objet unique, création artisanale.

Ce que vous voyez est ce que vous recevrez.

Création et réalisation de ce pendentif dzi ruya dans un atelier d’artisanat de Shigatse dans la région autonome du Tibet.

Caractéristiques :

• Genre : Homme / Femme
• Pierre : Agate dzi ruya
• Composition : Une agate dzi ruya. Le talisman est monté sur cordon résistant.
• Dimensions : Agate ruya 6 cm x 14 cm
• Provenance : Région autonome du Tibet

Lithothérapie, les bienfaits des minéraux : Dans la culture tibétaine, l’agate tient une place particulièrement importante avec la turquoise et le corail rouge. L’agate est associée aux divinités, elle peut se parer d’œils, et ainsi se doter dans les croyances populaires des qualités qui lui sont destinées, attirant ainsi à ses propriétaires de nombreux bénéfices.

Note sur le dzi : Les « Dzi » ou « Chung dzi » sont fabriqués à partir de l’agate, les dzi sont décorés de divers symboles archétypaux des régions de l’Himalaya, tels que les carrés, ovales, ronds, vagues, dents du tigre. Les dzi d’aujourd’hui sont des créations modernes et issues de l’artisanat, très prisés de la culture tibétaine, ils sont des bijoux précieux attirants chance et prospérité. La recette de fabrication est particulièrement difficile à connaitre, c’est un secret très bien garder par ceux qui les fabriquent. Chaque atelier travaille sa propre composition, un mélange végétal appliqué sur les agates gravées et cuites au four à environ 1000 degrés. Il n’y pas de véritables dzi antiques, ceux-la accompagnaient la personne décédée dans l’au-delà, les dzi n’avaient qu’un seul et unique propriétaire, ce qui explique la rareté de ces perles vertueuses. Le nombre d’œils peut atteindre 21, le dzi le plus populaire étant celui à 9 yeux, plus il en a et plus son pouvoir protecteur ou sa vertu est grande. Extrait de l’article : Le Chung dzi